3057 - "Quoi ? Ce n'est que ça ? Mais plus fort, bon sang !"
Ce long ruban de cuir fauve de belle épaisseur oublié (ou en attente) sur le dos d'une chaise fait fantasmer beaucoup de lectrices de ce blog, je m'en rends bien compte en lisant les commentaires et certains mails privés.
Que les filles sont jusqu'au-boutistes, décidément ! Et leur prosélytisme en la matière n'est pas une légende. Quand elles veulent quelques chose...
Pour ma part, bien que sévissant depuis mes jeunes années dans la partie (sic) ce n'est pas une façon de faire qui m'est bien familière et je n'en ai jamais éprouvé le désir directement. Il m'est depuis toujours apparu que la main permettait de ressentir en même temps que ma partenaire cette chaleur brûlante de la peau d'un cul, d'en éprouver la cuisson.
Saignant ? À point ? Bleu ? L'avantage évident de contrôler la température en direct-live....
Mes (très) rares fois avec l'objet proviennent à chaque fois de la curiosité et de l'envie des femmes avec qui c'est arrivé. Elles (ne) sont (que) quatre.
Qui se reconnaîtraient sans doute si elles lisaient toutes ce blog. J'en sais deux au moins, qui suivent. Mais peu importe. En près de quarante ans de vie amoureuse, c'est un ratio que les dominants de tout poil habitués aux instruments trouveront sans doute bien mince, mais le manuel que je suis ne sera décidément pas un affolé du ceinturon et de l'image trouble qu'il peut véhiculer dans l'inconscient de ses copines.
Qu'on me lise bien. Nulle ne m'a forcé de répondre à ses attentes et j'ai consenti avec curiosité et plaisir de tenter l'expérience, qui avouons-le, ne m'a du tout déplu. Point ici de tartufferie. Mais ce n'est toujours pas "naturel" dans ma façon de faire: manuel je suis, manuel je reste.
Mais en prenant de l'âge, c'est vrai et sans aller jusqu'à évoquer l'arthrose qui finira bien par m'arriver (puni par là où on a péché...), la gestuelle peut être moins aisée. Alors, devant l'obstination et la résistance obstinée des curieuses, il faut bien pouvoir sévir et obtenir reddition totale, sans décevoir...
Du coup, je peux m'en passer, mais je m'incline désormais devant la "demande". S'il y a lieu. Parce que ça ne viendra jamais de moi...
Mais "d'elles". Au sens large.
Ce long ruban de cuir fauve de belle épaisseur oublié (ou en attente) sur le dos d'une chaise fait fantasmer beaucoup de lectrices de ce blog, je m'en rends bien compte en lisant les commentaires et certains mails privés.
Que les filles sont jusqu'au-boutistes, décidément ! Et leur prosélytisme en la matière n'est pas une légende. Quand elles veulent quelques chose...
Pour ma part, bien que sévissant depuis mes jeunes années dans la partie (sic) ce n'est pas une façon de faire qui m'est bien familière et je n'en ai jamais éprouvé le désir directement. Il m'est depuis toujours apparu que la main permettait de ressentir en même temps que ma partenaire cette chaleur brûlante de la peau d'un cul, d'en éprouver la cuisson.
Saignant ? À point ? Bleu ? L'avantage évident de contrôler la température en direct-live....
Mes (très) rares fois avec l'objet proviennent à chaque fois de la curiosité et de l'envie des femmes avec qui c'est arrivé. Elles (ne) sont (que) quatre.
Qui se reconnaîtraient sans doute si elles lisaient toutes ce blog. J'en sais deux au moins, qui suivent. Mais peu importe. En près de quarante ans de vie amoureuse, c'est un ratio que les dominants de tout poil habitués aux instruments trouveront sans doute bien mince, mais le manuel que je suis ne sera décidément pas un affolé du ceinturon et de l'image trouble qu'il peut véhiculer dans l'inconscient de ses copines.
Qu'on me lise bien. Nulle ne m'a forcé de répondre à ses attentes et j'ai consenti avec curiosité et plaisir de tenter l'expérience, qui avouons-le, ne m'a du tout déplu. Point ici de tartufferie. Mais ce n'est toujours pas "naturel" dans ma façon de faire: manuel je suis, manuel je reste.
Mais en prenant de l'âge, c'est vrai et sans aller jusqu'à évoquer l'arthrose qui finira bien par m'arriver (puni par là où on a péché...), la gestuelle peut être moins aisée. Alors, devant l'obstination et la résistance obstinée des curieuses, il faut bien pouvoir sévir et obtenir reddition totale, sans décevoir...
Du coup, je peux m'en passer, mais je m'incline désormais devant la "demande". S'il y a lieu. Parce que ça ne viendra jamais de moi...
Mais "d'elles". Au sens large.