3065 - "Elle attend..."
Que peut bien m'inspirer une telle image ?
Cette femme s'est installée dans cette chambre d'hôtel anonyme dans une position d'offrande sur ce lit... Exactement comme elle pense qu'il la désire. En silence.
Elle est arrivée seule, a demandé une chambre et est montée se préparer à la rencontre... Ele s'est dévêtue, a lissé soigneusement ses cheveux, n'a gardé qu'un peu de lingerie, une goutte de parfum, a passé un ruban de soie pour dissimuler ses yeux, avant de glisser un autre ruban autour de ses poignets cette fois. Elle n'a eu qu'à resserrer avec ses dents le nœud coulant préparé à l’avance.
Désormais elle attend le cœur battant un peu plus à chaque bruit dans le couloir. Avant que l'angoisse délicieuse ne retombe quand les pas s'éloignent. Ce n'était pas lui, pas encore. Parce qu'à un moment, elle sait bien qu'elle entendra la clé glisser dans la serrure et la porte s’ouvrira...
C'est ce qui est convenu...
Et ce jeu purement érotique- qui n'en est plus tout à fait un -commencera sans qu'elle ne résiste, en se laissant glisser goulument dans le désir physique, désormais uniquement à l'écoute de ses sens. Du moins ceux qu'elle conserve, excepté le regard, puisqu'elle a les yeux bandés. À sa demande.
Les yeux. Elle se connait bien et sait que c'est un de ses atouts majeurs, dont elle joue dans la vie habituellement, elle féline et facilement séductrice. Il lui a demandé de s'en priver... Elle a accepté un peu à contrecœur.
Elle respire fort, un peu inquiète, un peu oppressée. Elle ne peut plus qu'exacerber son ouïe devenue indispensable pour appréhender les choses qui vont leur arriver...
Il a parlé d'une bonne fessée.
PS: bien entendu, si vous-même avez eu un jour l'occasion de vous retrouver dans cette attente érotique trouble, si vous avez franchi le pas de l’attente seule dans une chambre d'hôtel pour un jeu avec un inconnu - ou pas - ou encore pour raviver une flamme conjugale comme dans un livre d'Alexandre Jardin ou pour vous offrir des émois irraisonnés, ces pages vous sont ouvertes pour venir nous raconter...
Que peut bien m'inspirer une telle image ?
Cette femme s'est installée dans cette chambre d'hôtel anonyme dans une position d'offrande sur ce lit... Exactement comme elle pense qu'il la désire. En silence.
Elle est arrivée seule, a demandé une chambre et est montée se préparer à la rencontre... Ele s'est dévêtue, a lissé soigneusement ses cheveux, n'a gardé qu'un peu de lingerie, une goutte de parfum, a passé un ruban de soie pour dissimuler ses yeux, avant de glisser un autre ruban autour de ses poignets cette fois. Elle n'a eu qu'à resserrer avec ses dents le nœud coulant préparé à l’avance.
Désormais elle attend le cœur battant un peu plus à chaque bruit dans le couloir. Avant que l'angoisse délicieuse ne retombe quand les pas s'éloignent. Ce n'était pas lui, pas encore. Parce qu'à un moment, elle sait bien qu'elle entendra la clé glisser dans la serrure et la porte s’ouvrira...
C'est ce qui est convenu...
Et ce jeu purement érotique- qui n'en est plus tout à fait un -commencera sans qu'elle ne résiste, en se laissant glisser goulument dans le désir physique, désormais uniquement à l'écoute de ses sens. Du moins ceux qu'elle conserve, excepté le regard, puisqu'elle a les yeux bandés. À sa demande.
Les yeux. Elle se connait bien et sait que c'est un de ses atouts majeurs, dont elle joue dans la vie habituellement, elle féline et facilement séductrice. Il lui a demandé de s'en priver... Elle a accepté un peu à contrecœur.
Elle respire fort, un peu inquiète, un peu oppressée. Elle ne peut plus qu'exacerber son ouïe devenue indispensable pour appréhender les choses qui vont leur arriver...
Il a parlé d'une bonne fessée.
PS: bien entendu, si vous-même avez eu un jour l'occasion de vous retrouver dans cette attente érotique trouble, si vous avez franchi le pas de l’attente seule dans une chambre d'hôtel pour un jeu avec un inconnu - ou pas - ou encore pour raviver une flamme conjugale comme dans un livre d'Alexandre Jardin ou pour vous offrir des émois irraisonnés, ces pages vous sont ouvertes pour venir nous raconter...