2887 -"Vérifier en personne..."
J'aime intensément les marques qu'elle pourrait porter à même la peau.
Ce sont des stigmates, des preuves. D'amour. D’appartenance. De ce qu'on veut y mettre comme charge érotique ou émotionnelle... Chacun verra selon son degré d'implication.
Des preuves. Oui, de ma maladresse aussi, si elles sont trop appuyées, transformant les rougeurs souhaitées en bleus désespérants évidemment non désirés par l'impétrant qui officia. Mal.
Je vois parfois sur les vidéos des fesses qui se colorent progressivement joliment au fil des minutes, passent du blanc au rose puis au rouge vermillon puis carmin avec une magnifique uniformité qu'il m'est difficile d'atteindre. À mon grand désespoir. Probablement parce que je suis trop vite trop "fort", sans montée crescendo. l’impatience, sans doute. Une fois au coin, elles affichent une lune ravie comme passée au pistolet à peinture par un artiste.
Je n'aime pourtant pas les traces visibles qui défigurent un cul ! Mon âme de graphiste qui jadis utilisa un aérographe souffre devant ces marques marrons-bleues que régulièrement je crée, à mon corps défendant.
Enfin, surtout au sien.
Par contre, à l'instar du type sur la photo, j'aime bien vérifier: elle s'est habillée mais avant de sortir, je demande à voir. Et elle baisse sa culotte en rougissant, cette fois des joues, pendant que l’œil rivé à la chair, je contemple mon œuvre, son derrière cramoisi et bouillant dont je sens la chaleur avant même de baisser la fine étoffe qui le recouvre...
Je la laisse se reculotter. En lui disant qu'à tout moment et où qu'on soit, je pourrai au cours de notre balade en ville, à la campagne ou en forêt avoir envie de re-vérifier.
Et qu'elle n'aura pas d'autre choix que de me montrer immédiatement l'état de ses fesses.
Discrètement, mais sûrement.