3140 - "Sexe et fessée ?"
Ben oui, c'est sans doute un peu lié. Même si je sais pour l'avoir vécu qu'on peut très bien fesser sans bais... euh conclure dans la personne ! Je vous assure. C'est même un must.
Mais avouons messieurs que c'est aussi assez troublant de constater l'effet qu'on procure, le trouble, les vibrations du corps autant que de l'esprit.
Dans cette posture humiliante et honteuse qu'on fait prendre à sa compagne, en l'inclinant comme une gamine en travers de ses genoux avant de la déculotter pour la fesser, je crois bien que je suis aussi troublé qu'elle, d'oser passer à l'acte, de savoir que c'est inéluctable, que ça va arriver et qu'on ira au bout du jeu.
Qui n'en est pas un, d'ailleurs, au sens propre du mot.
Ludique, partagé, ressenti, certes. Mais toujours entre adultes consentants.
Elle sait bien quelle en montre bien trop, que c'est "sale", osé, honteux.
Elle en rougit, se trouble, bafouille, tente de dissimuler son intimité offerte au regard en tirant sur sa culotte dans un sens contraire à celui que vous tentez de faire prendre à ce bout de tissu, lequel de toute manière ira bientôt rejoindre un jeans déjà entortillé aux chevilles...
Lui donner une bonne fessée... Ou la caresser pour constater d'un index ou d'un majeur inquisiteur qu'elle ne peut contrôler son désir et que l'humidité la gagne, à son corps défendant...
Oser prendre son pouvoir d'homme, en oubliant un temps que c'est elle qui vous l'accorde et que, sans son réel désir d'être punie, il ne se passerait rien... C'est une fessée, pas un viol ni un acte imposé sans que l'acceptation ne soit tacite. Même si elle a besoin de dire "non", de demander pardon en criant et en gigotant, sans d'ailleurs percevoir qu'en faisant ça elle en montre bien plus encore, au fond on sait bien que c'est une complicité érotique qu'on s'offre là... À deux.
Obscénité de la "pose imposée"...
Comme l'est ici cette jeune femme en travers des accueillants genoux de mon amie Kelly Payne ! Con et cul, deux ouvertures impudiquement exposées avant que d’être utilisées au bon vouloir d'un cruel bourreau qu'elle sait aussi tendre amant, quand il convient...
Oui, il m'est arrivé d'être fâché pour de bon et qu'alors la fessée ne devienne quelque chose d'encore plus fort: parce qu'elle se sait coupable et veut demander pardon. Avec ses fesses. En entendant vos mots. En crevant de honte mais aussi de jubilation de trop en montrer... Et avant d'en montrer bien davantage encore, poussée dans ses derniers retranchements...
Too late !
Ben oui, c'est sans doute un peu lié. Même si je sais pour l'avoir vécu qu'on peut très bien fesser sans bais... euh conclure dans la personne ! Je vous assure. C'est même un must.
Mais avouons messieurs que c'est aussi assez troublant de constater l'effet qu'on procure, le trouble, les vibrations du corps autant que de l'esprit.
Dans cette posture humiliante et honteuse qu'on fait prendre à sa compagne, en l'inclinant comme une gamine en travers de ses genoux avant de la déculotter pour la fesser, je crois bien que je suis aussi troublé qu'elle, d'oser passer à l'acte, de savoir que c'est inéluctable, que ça va arriver et qu'on ira au bout du jeu.
Qui n'en est pas un, d'ailleurs, au sens propre du mot.
Ludique, partagé, ressenti, certes. Mais toujours entre adultes consentants.
Elle sait bien quelle en montre bien trop, que c'est "sale", osé, honteux.
Elle en rougit, se trouble, bafouille, tente de dissimuler son intimité offerte au regard en tirant sur sa culotte dans un sens contraire à celui que vous tentez de faire prendre à ce bout de tissu, lequel de toute manière ira bientôt rejoindre un jeans déjà entortillé aux chevilles...
Lui donner une bonne fessée... Ou la caresser pour constater d'un index ou d'un majeur inquisiteur qu'elle ne peut contrôler son désir et que l'humidité la gagne, à son corps défendant...
Oser prendre son pouvoir d'homme, en oubliant un temps que c'est elle qui vous l'accorde et que, sans son réel désir d'être punie, il ne se passerait rien... C'est une fessée, pas un viol ni un acte imposé sans que l'acceptation ne soit tacite. Même si elle a besoin de dire "non", de demander pardon en criant et en gigotant, sans d'ailleurs percevoir qu'en faisant ça elle en montre bien plus encore, au fond on sait bien que c'est une complicité érotique qu'on s'offre là... À deux.
Obscénité de la "pose imposée"...
Comme l'est ici cette jeune femme en travers des accueillants genoux de mon amie Kelly Payne ! Con et cul, deux ouvertures impudiquement exposées avant que d’être utilisées au bon vouloir d'un cruel bourreau qu'elle sait aussi tendre amant, quand il convient...
Oui, il m'est arrivé d'être fâché pour de bon et qu'alors la fessée ne devienne quelque chose d'encore plus fort: parce qu'elle se sait coupable et veut demander pardon. Avec ses fesses. En entendant vos mots. En crevant de honte mais aussi de jubilation de trop en montrer... Et avant d'en montrer bien davantage encore, poussée dans ses derniers retranchements...
Too late !
Image© Kelly Payne