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Happy hour Spanking...

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3181 - "L’Happy Hour de l'Indienne"...

Un texte proposé à la lecture, ce soir. Je ne l'ai pas écrit, c'est une lectrice qui me l'envoie. Je sais, à le lire, que là aussi, on aura le parfum de l'authentique en toile de fond.

Ce qui est écrit, même un peu arrangé, c'est du vécu !

"Toutes les semaines on avait notre soirée perso, lui le mardi au basket et moi le mercredi à la chorale... Oui, bon, ça va, la moyenne d’âge avec le chef de chœur et le pianiste doit avoisiner les 32 ans et l’ambiance est géniale, on fait des tournées et puis il y a la troisième mi-temps au bar juste à côté de la fac. Le patron est sympa, quand on arrive après notre répétition de 2h30, on continue de chanter notre répertoire et il trouve ça super, il y a même des habitués qui viennent nous écouter !

Donc régulièrement à nos soirées bloquées hebdomadaires s’ajoutent des matchs, souvent le samedi soir pour lui… et des récitals pour moi. La plupart du temps je ne reste pas à la troisième mi-temps, histoire de rentrer avant minuit... Mon côté "Cendrillon".

Mardi dernier mon homme en me rejoignant au lit m’annonce qu’il y a un match imprévu le samedi suivant, pour le Téléthon ou un truc du genre.  Ok, bonne nuit chéri.

Le hic c’est que le lendemain, j'apprends que l’enterrement de vie de jeune fille de Julie (notre super soprano) a lieu samedi soir aussi et comme une imbécile, je ne tilte pas que Guillaume a un match et je m’engage pour la soirée entre filles. C’est même moi qui est prévue pour aller chercher Julie chez elle et l’emmener sur les lieux de sa soirée surprise...

Quand je suis rentrée ce soir-là, Guillaume dormait déjà, j'ai complètement zappé que je ne lui avais pas dit pour les jours suivants... Pas très grave me direz-vous, sauf qu’on a une petite demoiselle de deux ans que l’on garde chacun notre tour. Et quand samedi vers 17h je sors de mon bain et que je le vois en tenue de sport, tout me revient...  Ah oui c’est vrai, son fichu match...

Il me dit que de toutes façons lui c’est important l’équipe compte sur lui, que c’est caritatif et qu’il m’avait prévenu mardi donc avant que je ne sois au courant de l’enterrement de vie jeune fille de ma copine... Je réponds du tac au tac que c’est injuste, que je vais demander à ce que la chorale répète le lundi l’année prochaine pour pouvoir être la première de temps en temps à bloquer une date...

Je sens qu’il fait des effort pour ne pas s’énerver… Petite princesse joue juste à côté. Et au lieu de chercher un compromis, il prend son sac de sport et disparaît avec une phrase laconique :

- "On m’attend, débrouille toi, annule !"

Punaise. Je l’aime mais des fois... il me gave. Il faut vraiment que je lise ce bouquin offert par ma tante sur Vénus et Mars... Mais oui voilà la solution, ma tante ou plus exactement ma nièce se fera une joie de garder notre princesse au pied levé. Un rapide texto me confirme que Charlotte peut venir. 

Ouf. Tout s’arrange finalement.

La soirée est comme toutes ces soirées, bizarre, excentrique, marrante et alcoolisée. 

Je ne suis pas du genre à me saouler mais bon je ne vais pas non plus jouer les Sam, j’habite juste à côté, s’il le faut je rentrerai à pied. Le patron du bar-brasserie est fantastique comme toujours, il nous a aménagé un coin un peu à l’écart. Et puis à 23h, il annonce l’Happy Hour. Une boisson alcoolisée achetée égale une deuxième gratuite. C’est à peu près à ce moment-là que je décide de rentrer à pieds... de toute façon, je ne sais plus où j’ai garé ma Twingo...

Guillaume est rentré vers 22h30, et  a découvert que j’avais trouvé une solution en la personne de Charlotte. Une fois ma nièce partie, il m’attend en somnolant devant la télé. Une heure plus tard, il m’envoie un texto pour avoir des news. Il ne sait même pas où je suis.  Comme je ne réponds pas, il tente de m’appeler, mais vu le bruit, je n’entends pas mon téléphone.

Et cette fois la Cendrillon que je suis ne regarde pas l’heure, la fête s’éternise. Et ce n’est que vers quatre heures du matin que je passe enfin la porte de l’appartement. Un peu flottante et fatiguée, je découvre qu’il est endormi dans le canapé. Sans bruit je file me coucher dans notre lit. Ni envie, ni en état de me prendre la tête avec lui maintenant. 

Comme il a coutume de dire, "on règlera nos comptes" demain, ou plutôt dans quelques heures.

Vers 7h30, je l’entends passer dans la chambre, Ninon doit être réveillée... Et moi je fais semblant de dormir. Deux ou trois heures plus tard, quelqu’un sonne. Et je reconnais la voix de Charlotte. La vache, j’ai mal au crâne ! Pourquoi Charlotte est-elle là ? Ah oui c’est vrai, ce midi nous sommes tous conviés chez mes parents pour fêter  l'anniversaire de ma mère. À peine la porte refermée, j’entends des pas  en approche dans le couloir.

- "Tu peux arrêter de faire semblant de dormir. J’ai appelé Charlotte pour qu’elle passe prendre Ninon, on se retrouve chez tes parents dans trois heures. Je pense que ça nous laisse assez de temps pour discuter d’hier soir."

J’ouvre les yeux. 

- "Punaise, j’ai vraiment abusé de l’Happy Hour, moi !"

Il me regarde intrigué, et lance sur un ton de reproche.

- "Tu aurais peut-être pu répondre à mes textos et appels, non ?"

- "Pas entendu, tu sais il y avait pas mal de bruit... et..."

- "Non je ne sais pas, vu que tu n’as pas pris la peine de me dire où tu étais !"

Hoho... Il n’a pas l’air content du tout, là.

- "Tu es rentrée à quelle heure ?"

- "Je ne sais pas trop. 1h du mat’, peut-être un peu plus tard... Tu dormais paisiblement dans le canapé, alors je n’ai pas voulu te réveiller..."

- "À trois heures, tu n’étais pas là !"

- "Ah ? C’est possible... Je... J’avais... J’ai mal au crâne !"

- "Oui j’imagine ! Rassure-moi, tu n’as pas conduit ?"

- "Ben non, je n’ai pas retrouvé la voiture..."

Son sourcil gauche se relève et sa mâchoire se crispe. 

- "Enfin je veux dire, j’ai décidé que c’était plus raisonnable de rentrer à pieds après 2 ou 3 verres... Et puis tu sais, on était au bar de la fac, donc c’est pas loin..."

- "Ok, je crois que tu as vraiment bien profité de ton happy hour."

- "Oui c’était top ! Enfin... On a passé une bonne soirée. Julie était surprise. Elle a adoré !"

- "Hum hum..."

Oups, j’ai beau avoir du mal à émerger, son ton me fait l’effet d’un litre de café noir. Franchement, je ne me sens pas en état pour ça. Mais j’ai comme l’impression que je ne vais pas forcément avoir mon mot à dire...

- "J’ai un excellent remède contre la gueule de bois et le mal de crâne !" 

Je tente de plaider la cause de mes fesses.

- "Il faut que je prenne une douche, on doit aller chez mes parents... On peut voir ça plus tard ?"

- "Don’t worry, my love. On va avoir le temps  de de régler nos comptes !"

Et la seconde qui suit, il tire sur la couette, m’attrape par les bras et commence à me basculer, je tente de conserver les fesses à l’abri contre le matelas mais après quelques claques cuisantes sur les cuisses (ça fait hyper mal), j’abdique.

Je sens ma culotte de pyjama descendre.

- "Chérie, ton happy hour m’inspire !" 

Oh my God, je sens que je vais prendre cher, très cher.

- "J’espère qu’à l’avenir tu penseras à l’Happy Hour Spanking que je vais me faire une joie de t’offrir !" 

Première salve de claques.

- "Ah-Ouche !"

- "Que tu noteras quand je te préviens d’un match..."

Les claques s’enchaînent et je sens ma peau brûler peu à peu.

- "Que tu penseras à me prévenir de tes soirées..."

- "Aïe, c’est bon j’ai compris !"

- "Laisse-moi en juger !"

- "Vraiment con, quand tu..."

Une claque magistrale s’abat sur mes fesses qui sont immédiatement en feu. Mode mute enclenché. Je tente en vain de bouger et d’échapper à sa main vengeresse.

- "Han !... Salaud !"

- "Pardon ?"

Je sens sa main se lever plus haut. C’est toujours étonnant de ressentir ce qui va se passer dans son dos et plus particulièrement dans le bas du dos sans rien y voir. Je décide de fermer les yeux pour me concentrer sur le contrôle dont j’allais avoir besoin dans une fraction de seconde...

Raaaah, j’ai l’impression que sa main est en fer.

- "Je te promets que tu vas avoir tout loisir de réfléchir à ton vocabulaire quand tu seras assise chez tes parents pendant trois ou quatre heures... Tiens, disons cinq heures, je vais prendre un jeu de société qui devrait plaire à Charlotte..."

Après une fessée qui me parait interminable, il me releve et m'envoie prendre une douche. Quand il entre dans la salle de bain, l’eau coule dans le vide car jé suis absorbée par la vision de mes fesses cramoisies dans le miroir... Il me pousse sous l’eau et une nouvelle fessée commence.

Je ne vais pas tenir, c’est impossible. Chaque claque résonne et me procure une douleur aiguë, intense comme jamais. Je m’échappe jusque dans la chambre, nue, toute mouillée, avec la sensation que mes fesses viennent d'être polies par du papier de verre. 

Bien sûr, la fessée n’était pas finie, je le sais, mais il me fallait une pause. Il me rattrape et je me retrouve dans la position qui m’est plus que familière en travers de ses genoux.

- "Il nous reste encore deux Happy Hour." murmure-t-il. 

Et il m'applique une troisième fessée qui me fait cambrer les reins. Mon cul rougi vibre à chaque nouvelle claque. 

Les endorphines sont là et bien là."

Mes plaintes se transforment en râles de plaisir. Dans peu de temps je vais jouir. Je mouille je le sais, et j'attends que ses doigts glissent en moi... "
Texte© Cheyenne

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