3198 - "Les yeux secs ?"
Dans la série"la fessée - comment se comporter", il y a la fameuse question souvent évoquée quand on parle du "lâcher-prise" ce seuil d'abandon réel si dur (rare)à atteindre: les larmes !
En avoir. Ou pas...
En clair et par expérience, il suffit de vouloir des larmes... pour ne pas en obtenir. Souvent dans le contrôle, on garde pour soi. Les filles serrent les dents, restent en tension, gardent le contrôle, veulent aussi résister et ne rien montrer, ne pas perdre la face aussi. Pour se prouver des trucs...
C'est selon. Alors arriver à se sublimer et lâcher les vannes, pas facile. Du tout.
Le but ? Arriver à se relâcher au point d'éclater en sanglots compulsifs et de se faire consoler dans les bras de l'homme, mais non, on le répète, pas simple.
On est dans l'envie et l'un comme l'autre, on en a parlé, c'est programmé et on attend trop que ça arrive, concentrés de concert sur le but ultime qu'elle appelle de ses vœux: "la faire chialer comme une madeleine", davantage d'ailleurs d'émotion que de douleur, même si ici, c'est la douleur ou encore la honte (?) qui amènent l'émotion...
Une amie du Nord avec qui je jouais jadis voulait que je la fesse jusqu'aux larmes pour retrouver en elle des choses très enfouies d'abandon. En fait, afin d'éclater en sanglots et de parvenir à se dépasser, une réelle attente, importante pour elle... On n'y est pas parvenu, en dépit d'une fessée mémorable.
Mais il me semble qu'elle en attendait trop et à un moment comme pour l'orgasme qui ne vient pas, sentant qu'on n'y arrivera pas , vaut mieux stopper. Mettre trop d'enjeu dans ses désirs n'est jamais évident et peut casser ce qui doit - au fond - arriver sans crier gare, quasi par surprise !
Autant pour un orgasme que pour des sanglots... Oui, c'est très drôle, "...longs des violons de l'automne, etc..." Vous connaissez vos classiques.
Alors ? Qui a réussi à pleurer pour de bon et à ouvrir les vannes en se laissant aller ? Dans quelles circonstances ? C'est quoi, la recette ?
Dans la série"la fessée - comment se comporter", il y a la fameuse question souvent évoquée quand on parle du "lâcher-prise" ce seuil d'abandon réel si dur (rare)à atteindre: les larmes !
En avoir. Ou pas...
En clair et par expérience, il suffit de vouloir des larmes... pour ne pas en obtenir. Souvent dans le contrôle, on garde pour soi. Les filles serrent les dents, restent en tension, gardent le contrôle, veulent aussi résister et ne rien montrer, ne pas perdre la face aussi. Pour se prouver des trucs...
C'est selon. Alors arriver à se sublimer et lâcher les vannes, pas facile. Du tout.
Le but ? Arriver à se relâcher au point d'éclater en sanglots compulsifs et de se faire consoler dans les bras de l'homme, mais non, on le répète, pas simple.
On est dans l'envie et l'un comme l'autre, on en a parlé, c'est programmé et on attend trop que ça arrive, concentrés de concert sur le but ultime qu'elle appelle de ses vœux: "la faire chialer comme une madeleine", davantage d'ailleurs d'émotion que de douleur, même si ici, c'est la douleur ou encore la honte (?) qui amènent l'émotion...
Une amie du Nord avec qui je jouais jadis voulait que je la fesse jusqu'aux larmes pour retrouver en elle des choses très enfouies d'abandon. En fait, afin d'éclater en sanglots et de parvenir à se dépasser, une réelle attente, importante pour elle... On n'y est pas parvenu, en dépit d'une fessée mémorable.
Mais il me semble qu'elle en attendait trop et à un moment comme pour l'orgasme qui ne vient pas, sentant qu'on n'y arrivera pas , vaut mieux stopper. Mettre trop d'enjeu dans ses désirs n'est jamais évident et peut casser ce qui doit - au fond - arriver sans crier gare, quasi par surprise !
Autant pour un orgasme que pour des sanglots... Oui, c'est très drôle, "...longs des violons de l'automne, etc..." Vous connaissez vos classiques.
Alors ? Qui a réussi à pleurer pour de bon et à ouvrir les vannes en se laissant aller ? Dans quelles circonstances ? C'est quoi, la recette ?