3277 - "Un jour d'avance... ?"
Assis sur le canapé, il la regarde revenir de la porte d'entrée du petit appartement vérifier que c'est bien fermé. Elle a tourné la clé dans la serrure, ils sont seuls au monde désormais. Elle croise son regard comme si de rien n'était avec un sourire de façade, mais le cœur bat probablement plus fort, des deux côtés. Il ne l'a jamais fessée encore.
Irrésistiblement elle et lui savent que c'est maintenant !
- "Baisse ton jeans !" Ton sans réplique. Pourtant elle tente vaguement de plaider, d'une petite voix:
- "Euh... On ne devait pas aller manger d'abord ?"Peine perdue.
Elle est venue pour "ça" et n'est pas femme à renâcler devant l'obstacle...
La vie et le reste à bras le corps, on ne vit qu'une fois... Toute philosophie mise à part, elle a alors mordu sa lèvre inférieure, n'osant plus le regarder, puis de suite débouclé sa ceinture, baissé le jeans à mi-cuisses comme il le lui intime, attendant debout devant lui en culotte, un peu gauche, les yeux baissés...
Et ça va vite: à peine basculée et maintenue, elle est prestement déculottée d'un geste vif, n'a pas le temps d'avoir honte d'ainsi présenter son cul nu très loin de la séduction habituelle avec laquelle elle le montre d'ordinaire dans une relation classique: immédiatement, elle est sévèrement claquée sans crier gare...
Comme elle l'a imaginée, au début elle met un point d'honneur à ne pas laisser échapper la moindre plainte malgré la force immédiate des premières claques appliquées à toute volée qui résonnent dans le petit salon, sans round d’observation.
Il avait prévenu, il fesse fort. Et tout de suite...
Elle lui avait demandé instamment que ce soit sans concession. Il n'y en a aucune...
Mais à la seconde fessée donnée au retour du déjeuner sur des fesses encore sensibles de la première inaugurale, contrainte par la force des choses et sans qu'il s'en aperçoive, elle mord discrètement la couverture posée sur le divan pour ne pas crier.
Concentré sur ses réactions et cette main dans le dos qu'il tient pour la ressentir vibrer, il ne s'en rend pas compte, s'étonne même de son stoïcisme et de sa résistance à la douleur, sa main à lui brûlante et un peu meurtrie prouvant clairement qu'il cherche à présent ses limites, la faire craquer et hurler en demandant pardon. LE signe convenu qu’elle rend les armes....
C'est à la troisième claquée, une heure plus tard, qu'elle demande grâce.
Enfin !
Ses mains qui tentent à chaque claque maintenant de protéger un derrière copieusement rougi ne trompent pas: elle se rend ! Cette nouvelle fessée bien plus appuyée a eu raison de sa résistance. Encore quelques claques sonores, pour conclure en beauté avant que son cul meurtri ne s’abandonne ensuite aux "délices de Capoue", le reste de l'après-midi...
Ça pourrait être le 8 août. Ou le 7, ou encore le 9... Mais aussi en septembre ou en janvier tout aussi bien !
Au fond quelle importance ? Quand on y pense, la fessée n'a pas besoin de date fixe. Chaque jour peut devenir VOTRE "Spanking Day" pour peu que vous soyez avec la bonne personne, au bon endroit...
Non ?
Je vous le souhaite. Et racontez-nous, ensuite...
Assis sur le canapé, il la regarde revenir de la porte d'entrée du petit appartement vérifier que c'est bien fermé. Elle a tourné la clé dans la serrure, ils sont seuls au monde désormais. Elle croise son regard comme si de rien n'était avec un sourire de façade, mais le cœur bat probablement plus fort, des deux côtés. Il ne l'a jamais fessée encore.
Irrésistiblement elle et lui savent que c'est maintenant !
- "Baisse ton jeans !" Ton sans réplique. Pourtant elle tente vaguement de plaider, d'une petite voix:
- "Euh... On ne devait pas aller manger d'abord ?"Peine perdue.
Elle est venue pour "ça" et n'est pas femme à renâcler devant l'obstacle...
La vie et le reste à bras le corps, on ne vit qu'une fois... Toute philosophie mise à part, elle a alors mordu sa lèvre inférieure, n'osant plus le regarder, puis de suite débouclé sa ceinture, baissé le jeans à mi-cuisses comme il le lui intime, attendant debout devant lui en culotte, un peu gauche, les yeux baissés...
Et ça va vite: à peine basculée et maintenue, elle est prestement déculottée d'un geste vif, n'a pas le temps d'avoir honte d'ainsi présenter son cul nu très loin de la séduction habituelle avec laquelle elle le montre d'ordinaire dans une relation classique: immédiatement, elle est sévèrement claquée sans crier gare...
Comme elle l'a imaginée, au début elle met un point d'honneur à ne pas laisser échapper la moindre plainte malgré la force immédiate des premières claques appliquées à toute volée qui résonnent dans le petit salon, sans round d’observation.
Il avait prévenu, il fesse fort. Et tout de suite...
Elle lui avait demandé instamment que ce soit sans concession. Il n'y en a aucune...
Mais à la seconde fessée donnée au retour du déjeuner sur des fesses encore sensibles de la première inaugurale, contrainte par la force des choses et sans qu'il s'en aperçoive, elle mord discrètement la couverture posée sur le divan pour ne pas crier.
Concentré sur ses réactions et cette main dans le dos qu'il tient pour la ressentir vibrer, il ne s'en rend pas compte, s'étonne même de son stoïcisme et de sa résistance à la douleur, sa main à lui brûlante et un peu meurtrie prouvant clairement qu'il cherche à présent ses limites, la faire craquer et hurler en demandant pardon. LE signe convenu qu’elle rend les armes....
C'est à la troisième claquée, une heure plus tard, qu'elle demande grâce.
Enfin !
Ses mains qui tentent à chaque claque maintenant de protéger un derrière copieusement rougi ne trompent pas: elle se rend ! Cette nouvelle fessée bien plus appuyée a eu raison de sa résistance. Encore quelques claques sonores, pour conclure en beauté avant que son cul meurtri ne s’abandonne ensuite aux "délices de Capoue", le reste de l'après-midi...
Ça pourrait être le 8 août. Ou le 7, ou encore le 9... Mais aussi en septembre ou en janvier tout aussi bien !
Au fond quelle importance ? Quand on y pense, la fessée n'a pas besoin de date fixe. Chaque jour peut devenir VOTRE "Spanking Day" pour peu que vous soyez avec la bonne personne, au bon endroit...
Non ?
Je vous le souhaite. Et racontez-nous, ensuite...