3341 - "Aimer à perdre la raison..."
Je ne sais pas vous, messieurs, mais j'ai du mal à fesser qui m'est indifférent.
Or, quand on ne veut vivre que des choses fortes, au-delà de l'envie et de l'expérience"en passant", la logique voudrait... qu'on s'en passe. Pour ne vivre que de l'exceptionnel. Tu parles !
C'est très masculin d'y aller"quand même", la chair et faible et l'homme aussi... Et je ne fais malheureusement pas exception. Pas toujours.
C'est quelque chose qui revient souvent quand j'écoute mes amies passionnées par le sujet... Elles insistent beaucoup sur ce point: "fessée comme une gamine odieuse à déculotter et claquer comme il se doit pour la remettre en place", d'accord ! C'est le deal.
Mais "des câlins juste après et une fois blottie dans ses bras, le sentiment rassurant d'être pardonnée ensuite", une fois la correction administrée...
Pas de systématisme, il y a bien quelques fesseurs compulsifs (j'en connais...)à qui il faut du nouveau sans cesse et fessent tout ce qui bouge, sans exclusive ni le moindre discernement, en enchaînant les culs et en se foutant un peu de la suite, sans SAV. C'est quand même aussi aux filles de savoir à qui elles livrent leurs fesses et de prendre un peu de temps avant d'y aller...
Allez, pour ma part, il m'est impossible de vivre pleinement ce fantasme sans une part de séduction, de charme et, disons le mot, d'amour. Alors très vite, il FAUT que je sois investi dans un sentiment amoureux et évidemment partagé... Je ne peux pas me plaindre.
La tendresse ? Pas avec tout le monde. Il faut s'attirer, se plaire, se tourner autour, se flairer. Se sentir le cul. Ne pas sombrer dans le systématisme, ni tenter le truc avec la première venue sans avoir étudié le dossier un minimum.
Je confesse avoir parfois déconné. Alors que je professe en permanence d'être sélectif, l'ai-je seulement toujours été ? J'avoue que non. Il m'est arrivé d'y "aller" quand même, alors que je savais pertinemment qu'il ne fallait pas. J'ai des noms, mais ça ne servirait à rien de faire une liste.
Surtout des années après...
OK, J'ai parfois cédé aux sirènes. Pas toujours glorieux d'ensuite faire son introspection et de devoir reconnaitre qu'on a accepté ses propres penchants sans se contrôler, par envie et animalité, parfois. C'est que j'aime beaucoup enculer les filles après une fessée, il faut dire...
Pas de panique, j'ai du KY...
Je ne sais pas vous, messieurs, mais j'ai du mal à fesser qui m'est indifférent.
Or, quand on ne veut vivre que des choses fortes, au-delà de l'envie et de l'expérience"en passant", la logique voudrait... qu'on s'en passe. Pour ne vivre que de l'exceptionnel. Tu parles !
C'est très masculin d'y aller"quand même", la chair et faible et l'homme aussi... Et je ne fais malheureusement pas exception. Pas toujours.
C'est quelque chose qui revient souvent quand j'écoute mes amies passionnées par le sujet... Elles insistent beaucoup sur ce point: "fessée comme une gamine odieuse à déculotter et claquer comme il se doit pour la remettre en place", d'accord ! C'est le deal.
Mais "des câlins juste après et une fois blottie dans ses bras, le sentiment rassurant d'être pardonnée ensuite", une fois la correction administrée...
Pas de systématisme, il y a bien quelques fesseurs compulsifs (j'en connais...)à qui il faut du nouveau sans cesse et fessent tout ce qui bouge, sans exclusive ni le moindre discernement, en enchaînant les culs et en se foutant un peu de la suite, sans SAV. C'est quand même aussi aux filles de savoir à qui elles livrent leurs fesses et de prendre un peu de temps avant d'y aller...
Allez, pour ma part, il m'est impossible de vivre pleinement ce fantasme sans une part de séduction, de charme et, disons le mot, d'amour. Alors très vite, il FAUT que je sois investi dans un sentiment amoureux et évidemment partagé... Je ne peux pas me plaindre.
La tendresse ? Pas avec tout le monde. Il faut s'attirer, se plaire, se tourner autour, se flairer. Se sentir le cul. Ne pas sombrer dans le systématisme, ni tenter le truc avec la première venue sans avoir étudié le dossier un minimum.
Je confesse avoir parfois déconné. Alors que je professe en permanence d'être sélectif, l'ai-je seulement toujours été ? J'avoue que non. Il m'est arrivé d'y "aller" quand même, alors que je savais pertinemment qu'il ne fallait pas. J'ai des noms, mais ça ne servirait à rien de faire une liste.
Surtout des années après...
OK, J'ai parfois cédé aux sirènes. Pas toujours glorieux d'ensuite faire son introspection et de devoir reconnaitre qu'on a accepté ses propres penchants sans se contrôler, par envie et animalité, parfois. C'est que j'aime beaucoup enculer les filles après une fessée, il faut dire...
Pas de panique, j'ai du KY...
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