3370 - "Histoire de rythme... et de régularité !"
Ils avaient échangé plusieurs mails de plus en plus précis, réelle façon d’apprendre à se connaitre avant même de se voir. L'un et l'autre souhaitant avant tout sans se le dire vraiment éviter erreurs, approximations et rencontres hasardeuses au petit bonheur la chance...
"Chat échaudé craint l’eau froide" dit-on. Bien sûr, il avait en magasin deux (ou trois) belles histoires, au mauvais moment: elle était libre, pas lui, il l'était, elle ne l'était plus, un classique... Mais surtout à la longue, trop de déconvenues, de déceptions d’après-rencontres et surtout ces petits ratages, ces moments gênants où on voudrait être ailleurs, du temps plus ou moins long passé avec des filles aussichianteséloignées de lui qu’il l’était d’elles, avaient émoussé son enthousiasme.
Du moins le croyait-il... Et pourtant, à nouveau, il replongeait.
Comme à chaque fois. Parce que: "Et si c'était la bonne ?"
Forcement au fil des phrases se dessine un début de complicité, le trouble mutuel de lire les réponses qui arrivent, quelques minutes à peine après les questions posées, l’attente les yeux rivés sur l’écran et ce petit sourire d’excitation en voyant s’afficher"vous avez un nouveau message..." de plus en plus rapidement, à la façon d’un ping-pong virtuel aussi direct et sans fausse pudeur ni compromis qu’érotique.
On est sur la DD(Discipline Domestique), avec pour envie de la vivre, vraiment. Pas juste pour jouer, mais que ce soit quasiment inscrit dans les rituels du couple... C'est un truc qui leur fait envie depuis... depuis toujours, en fait ! Lui l'a approchée, a beaucoup fessé dans sa vie, mais jamais vraiment avec une profession de foi conjugale au quotidien aussi ancrée. Intéressant. On continue...
À un moment, ils en viennent à évoquer la fréquence des fessées qu'elle rêve de recevoir. Parce que finalement, ça a du sens de savoir un peu sur quel chemin on s'engage. Alors ? Une fois par semaine, deux ? Par mois ? Lui sait qu'il en a besoin, que s'il ne le vit pas avec régularité comme avant, le risque est grand qu'il s'en aille chasser ailleurs au bout d'un moment, l'envie est plus forte que lui.
Alors il demande carrément, un brin innocemment, mais pas trop: “et toi dis-moi, par rapport à ta libido, tu penses que tu as besoin d'être fessée à quelle fréquence ?“
Sa réponse fuse dix secondes plus tard...
“Everyday !“(*“Tous les jours“...)
Pas autre chose dans le mail. Pas d'enrobage, pas de "bisous", pas de signature. Juste un mot, poussé spontanément comme un cri du cœur. Tous les jours ?
Tous les jours ! Et c'était pas pour faire un mot.
Bon, les ami(e)s... Et VOUS Messieurs-Dames ? Je ne vous ai jamais vraiment demandé, mais... Quelle est votre fréquence, dites ? Les réponses dans les commentaires ? J'attends avec intérêt détails et circonstances, hein...
Ils avaient échangé plusieurs mails de plus en plus précis, réelle façon d’apprendre à se connaitre avant même de se voir. L'un et l'autre souhaitant avant tout sans se le dire vraiment éviter erreurs, approximations et rencontres hasardeuses au petit bonheur la chance...
"Chat échaudé craint l’eau froide" dit-on. Bien sûr, il avait en magasin deux (ou trois) belles histoires, au mauvais moment: elle était libre, pas lui, il l'était, elle ne l'était plus, un classique... Mais surtout à la longue, trop de déconvenues, de déceptions d’après-rencontres et surtout ces petits ratages, ces moments gênants où on voudrait être ailleurs, du temps plus ou moins long passé avec des filles aussi
Du moins le croyait-il... Et pourtant, à nouveau, il replongeait.
Comme à chaque fois. Parce que: "Et si c'était la bonne ?"
Forcement au fil des phrases se dessine un début de complicité, le trouble mutuel de lire les réponses qui arrivent, quelques minutes à peine après les questions posées, l’attente les yeux rivés sur l’écran et ce petit sourire d’excitation en voyant s’afficher"vous avez un nouveau message..." de plus en plus rapidement, à la façon d’un ping-pong virtuel aussi direct et sans fausse pudeur ni compromis qu’érotique.
On est sur la DD(Discipline Domestique), avec pour envie de la vivre, vraiment. Pas juste pour jouer, mais que ce soit quasiment inscrit dans les rituels du couple... C'est un truc qui leur fait envie depuis... depuis toujours, en fait ! Lui l'a approchée, a beaucoup fessé dans sa vie, mais jamais vraiment avec une profession de foi conjugale au quotidien aussi ancrée. Intéressant. On continue...
À un moment, ils en viennent à évoquer la fréquence des fessées qu'elle rêve de recevoir. Parce que finalement, ça a du sens de savoir un peu sur quel chemin on s'engage. Alors ? Une fois par semaine, deux ? Par mois ? Lui sait qu'il en a besoin, que s'il ne le vit pas avec régularité comme avant, le risque est grand qu'il s'en aille chasser ailleurs au bout d'un moment, l'envie est plus forte que lui.
Alors il demande carrément, un brin innocemment, mais pas trop: “et toi dis-moi, par rapport à ta libido, tu penses que tu as besoin d'être fessée à quelle fréquence ?“
Sa réponse fuse dix secondes plus tard...
“Everyday !“(*“Tous les jours“...)
Pas autre chose dans le mail. Pas d'enrobage, pas de "bisous", pas de signature. Juste un mot, poussé spontanément comme un cri du cœur. Tous les jours ?
Tous les jours ! Et c'était pas pour faire un mot.
Bon, les ami(e)s... Et VOUS Messieurs-Dames ? Je ne vous ai jamais vraiment demandé, mais... Quelle est votre fréquence, dites ? Les réponses dans les commentaires ? J'attends avec intérêt détails et circonstances, hein...
Photo: "Bon usage du W..."© Stan/E.