3379 - "Le compte à rebours est commencé..."
L'idée ? C'est pour le 8, date anniversaire ! Beau chiffre, deux ronds qui évoquent une paire de fesses, pourrais-je dire devant la psychologue me montrant des images anodines qu'invariablement je rendrais érotiques ! Est-ce que je vois des culs partout ?
Jadis j'avais organisé un petit concours pour mes lectrices dont l'enjeu était... une fessée. Surprenant, non ? Ma belle amie "Chut" m'avait dit lors d'un dîner, complice et amusée, que quelle que soit la gagnante, qu'elle me plaise ou pas, "il faudrait aller au bout" et donc, la fesser...
Une histoire de commentaires à atteindre, un chiffre aussi rond qu'un cul de femme, le 12 000ème(ou était-ce 15 000 ?) atteint par une certaine Valentine, qui reçut sa fessée en bonne et due forme, un jour, pas bien loin de la frontière belge...
Moment inattendu mais réel. Au petit matin, la radio m'apprenait l'infortune d'un de nos hommes politiques en vue du côté d'un Sofitel, à l'étranger. Aucun rapport ?
Bon. C'était amusant et comme dans la chanson de Piaf, "Non, je ne regrette rien !"...
Rien de rien ?
Peut-être quand même, en y repensant, d'avoir un peu expédié la chose, mais la dame ayant trouvé son contentement, moi aussi, du coup... Ce fut un one shot, sans lendemain. Sans amour et envie réelle, ces jeux deviennent un peu gratuits et sans objet, je crois. Je suis un fesseur romantique...
Davantage "amoureux avec suivi régulier" que "fesseur d'un soir". Oh, je reconnais l'avoir été parfois, mais au final, ça m'a toujours laissé un peu sur le côté, avec amertume et regrets de ne pas avoir su dire non, quand je sentais (avant) qu'il ne fallait pas y aller. Et que j'y allais quand même. Avec (après) de l'agacement envers moi-même d'avoir été incapable par pur plaisir de résister, de dire non.
Bref, d'être aussi "facile" parfois...
Allons. Mieux valent des remords que des regrets. Je n'ai ni les uns ni les autres. C'est passé.
Du coup, nous voici arrivés, vous et moi, à la 12ème année "d'Au Fil des Jours"... Marquer le coup, oui, mais comment ?
OK, sans aller jusqu'aux 15 000 claques d'une fessée mémorable qui fut appliquée mathématiquement devant un public averti il y a quelques années, mettant en scène un ami disparu et sa compagne, j'ai pensé que 100 claques par année ? 1 200, donc ?
Ça devrait faire une jolie photo, que, pudeur oblige, je transformerai en dessin. Madame une fois rougie se préférant culièrement illustrée que crûment photographiée par mes soins, l'image vaudra preuve.
Le 8 février, date anniversaire, ce sera donc une fessée qui compte ! Just for fun...
... And love, as usual.
L'idée ? C'est pour le 8, date anniversaire ! Beau chiffre, deux ronds qui évoquent une paire de fesses, pourrais-je dire devant la psychologue me montrant des images anodines qu'invariablement je rendrais érotiques ! Est-ce que je vois des culs partout ?
Jadis j'avais organisé un petit concours pour mes lectrices dont l'enjeu était... une fessée. Surprenant, non ? Ma belle amie "Chut" m'avait dit lors d'un dîner, complice et amusée, que quelle que soit la gagnante, qu'elle me plaise ou pas, "il faudrait aller au bout" et donc, la fesser...
Une histoire de commentaires à atteindre, un chiffre aussi rond qu'un cul de femme, le 12 000ème(ou était-ce 15 000 ?) atteint par une certaine Valentine, qui reçut sa fessée en bonne et due forme, un jour, pas bien loin de la frontière belge...
Moment inattendu mais réel. Au petit matin, la radio m'apprenait l'infortune d'un de nos hommes politiques en vue du côté d'un Sofitel, à l'étranger. Aucun rapport ?
Bon. C'était amusant et comme dans la chanson de Piaf, "Non, je ne regrette rien !"...
Rien de rien ?
Peut-être quand même, en y repensant, d'avoir un peu expédié la chose, mais la dame ayant trouvé son contentement, moi aussi, du coup... Ce fut un one shot, sans lendemain. Sans amour et envie réelle, ces jeux deviennent un peu gratuits et sans objet, je crois. Je suis un fesseur romantique...
Davantage "amoureux avec suivi régulier" que "fesseur d'un soir". Oh, je reconnais l'avoir été parfois, mais au final, ça m'a toujours laissé un peu sur le côté, avec amertume et regrets de ne pas avoir su dire non, quand je sentais (avant) qu'il ne fallait pas y aller. Et que j'y allais quand même. Avec (après) de l'agacement envers moi-même d'avoir été incapable par pur plaisir de résister, de dire non.
Bref, d'être aussi "facile" parfois...
Allons. Mieux valent des remords que des regrets. Je n'ai ni les uns ni les autres. C'est passé.
Du coup, nous voici arrivés, vous et moi, à la 12ème année "d'Au Fil des Jours"... Marquer le coup, oui, mais comment ?
OK, sans aller jusqu'aux 15 000 claques d'une fessée mémorable qui fut appliquée mathématiquement devant un public averti il y a quelques années, mettant en scène un ami disparu et sa compagne, j'ai pensé que 100 claques par année ? 1 200, donc ?
Ça devrait faire une jolie photo, que, pudeur oblige, je transformerai en dessin. Madame une fois rougie se préférant culièrement illustrée que crûment photographiée par mes soins, l'image vaudra preuve.
Le 8 février, date anniversaire, ce sera donc une fessée qui compte ! Just for fun...
... And love, as usual.
Dessin:"12X100=1200"© Stan/E.