3391 -"Vue imprenable ! (2)"
Faire l'amour dans une voiture... ? Oui, bien sûr, tu penses. Je suis un ex-ado des années 70. Mais une fessée ? Ben oui, aussi.
J'ignore si ce monsieur déculottant amplement et à deux mains la demoiselle sur cette photo très vintage se prépare à punir un dépassement à 80 sur une route à deux voies de circulation. Et peu importe. Je ne suis pas légaliste à ce point.
Mais... Je me souviens d'une fessée donnée un vendredi soir tard, dans ma Nissan garée boulevard Richard Lenoir, à quelques mètres de la place de la Bastille.
Il faut dire que ces vitres très foncées à l’arrière de l'auto incitent aux excès. Elle et moi, on s'y est glissés en sortant de l'Hippo,à quelques dizaines de mètres. On a parlé de tout, de rien. Je devais juste la ramener après le dîner, elle a du taf en vue d'une examen très proche. C'est pour ça qu'elle est venue à Paris, pas pour me voir.
Et on devrait se quitter sagement, mais... On en a envie ! J'en ai envie.
Je la bascule sans un mot en travers de mes cuisses. Elle palpite, de frousse autant que de désir. Je lui baisse sa petite culotte. Lentement, pendant que des voitures passent le long de la nôtre, sans se douter du “drame“ qui s'y joue...
Apparemment personne ne nous a vu monter à l'arrière, nul ne s'étonne donc que le siège conducteur demeure vide et qu'il y ait deux personnes assises derrière, comme dans un taxi. Juste un gars qui a dû nous apercevoir malgré notre discrétion et a cru qu'on lui laissait la place de parking, inespérée dans ce quartier. Il a attendu une bonne minute à côté de nous avant de piger qu'on ne démarrerait pas de sitôt.
... Et de disparaître dans un vrombissement rageur.
Sur le trottoir, des couples passent, parfois en parlant fort. C'est clair, le bruit des claques ne leur parvient pas et pourtant je fesse intensément l'insolente. Les crépitements rythmés sont étouffés par l'insonorisation parfaite du Juke. Elle est allongée, fesses à l'air sur mes genoux, je la maintiens et lui susurre quelques mots sentis pour accompagner le tout. Son cul est sans doute très rouge, voire cramoisi... Mais il fait très sombre dans l'auto et évidemment pas question d'allumer pour vérifier. Les voitures de police rôdent, l'une d'elle passe même au ralenti. On retient notre souffle...
La chaleur de son fessier quand je passe la main dessus sert de baromètre et me suffit pour juger que c'est assez... Je la ramène. Une bise chaste sans une allusion de plus sur ce qui vient de se passer, elle disparait sous une porte cochère. Fin de la séquence.
C'est la dernière fessée que je lui ai donnée, je crois. Oh, pas la plus forte, mais assurément la plus insolite. L'histoire était finie, juste un petit goût de revenez-y.
On n'y est pas revenus...
Faire l'amour dans une voiture... ? Oui, bien sûr, tu penses. Je suis un ex-ado des années 70. Mais une fessée ? Ben oui, aussi.
J'ignore si ce monsieur déculottant amplement et à deux mains la demoiselle sur cette photo très vintage se prépare à punir un dépassement à 80 sur une route à deux voies de circulation. Et peu importe. Je ne suis pas légaliste à ce point.
Mais... Je me souviens d'une fessée donnée un vendredi soir tard, dans ma Nissan garée boulevard Richard Lenoir, à quelques mètres de la place de la Bastille.
Il faut dire que ces vitres très foncées à l’arrière de l'auto incitent aux excès. Elle et moi, on s'y est glissés en sortant de l'Hippo,à quelques dizaines de mètres. On a parlé de tout, de rien. Je devais juste la ramener après le dîner, elle a du taf en vue d'une examen très proche. C'est pour ça qu'elle est venue à Paris, pas pour me voir.
Et on devrait se quitter sagement, mais... On en a envie ! J'en ai envie.
Je la bascule sans un mot en travers de mes cuisses. Elle palpite, de frousse autant que de désir. Je lui baisse sa petite culotte. Lentement, pendant que des voitures passent le long de la nôtre, sans se douter du “drame“ qui s'y joue...
Apparemment personne ne nous a vu monter à l'arrière, nul ne s'étonne donc que le siège conducteur demeure vide et qu'il y ait deux personnes assises derrière, comme dans un taxi. Juste un gars qui a dû nous apercevoir malgré notre discrétion et a cru qu'on lui laissait la place de parking, inespérée dans ce quartier. Il a attendu une bonne minute à côté de nous avant de piger qu'on ne démarrerait pas de sitôt.
... Et de disparaître dans un vrombissement rageur.
Sur le trottoir, des couples passent, parfois en parlant fort. C'est clair, le bruit des claques ne leur parvient pas et pourtant je fesse intensément l'insolente. Les crépitements rythmés sont étouffés par l'insonorisation parfaite du Juke. Elle est allongée, fesses à l'air sur mes genoux, je la maintiens et lui susurre quelques mots sentis pour accompagner le tout. Son cul est sans doute très rouge, voire cramoisi... Mais il fait très sombre dans l'auto et évidemment pas question d'allumer pour vérifier. Les voitures de police rôdent, l'une d'elle passe même au ralenti. On retient notre souffle...
La chaleur de son fessier quand je passe la main dessus sert de baromètre et me suffit pour juger que c'est assez... Je la ramène. Une bise chaste sans une allusion de plus sur ce qui vient de se passer, elle disparait sous une porte cochère. Fin de la séquence.
C'est la dernière fessée que je lui ai donnée, je crois. Oh, pas la plus forte, mais assurément la plus insolite. L'histoire était finie, juste un petit goût de revenez-y.
On n'y est pas revenus...