3329 - "Excessive et demandeuse..."
Non, je ne n'aime pas les instruments. Et pourtant cette image est assez fantasmante.
Comme me l'a joliment écrit récemment une lectrice:
"Un homme manuel, j'aime mieux. Je me dis toujours que le donneur, lui aussi, doit ressentir la brûlure sur SA paume. Que c'est meilleur partagé... "
Et c'est sans doute LA raison première de mon plaisir de fesser. Le partage. C'est aussi ce qui fait que je sais m'arrêter au bon moment, avec le baromètre incontournable que constitue cette même main.
Et la brûlure que je ressens quand la correction a été à son paroxysme.
Mais depuis peu, l'introduction d'un martinet (dans le trouble, pas dans le fondement...) germe dans mes envies de fessées. Alors évidemment, davantage pour graduer la menace dans ces instants où la provocatrice tente de prendre le dessus parce que c'est plus fort qu'elle et que pour sévir, une correction à la main ne suffira pas à calmer l'orgueilleuse qui vous tient tête. Elle veut être punie, sait qu'elle le sera...
Instants de défi, échange de mots et d'impertinence, juste avant de la basculer pantelante, jetant à bas jeans et culotte après l'avoir empoignée, courbée et maintenue cul nu en travers de vos cuisses, mais où, dès la première claque, on devine elle et vous qu'il faudra plus qu'une raclée à la main pour mater la petite orgueilleuse qu'elle demeure et lui délivrer la bonne parole...
Lui rappeler le respect. Et qui vous êtes. Qu'elle a parfois tendance à oublier que la gentillesse n'exclut pas pour autant l'intransigeance.
Alors, piqûre de rappel. Régulière.
C'est vrai: elle a la trouille des cinglades du martinet évoqué, à en pisser dans sa petite culotte de frousse. Pourtant c'est plus fort qu'elle et en dépit de la peur qui l'étreint et la fait vibrer comme une corde de piano, elle aime tant jouer avec ce feu ardent réclamé à même sa peau de fille qu'elle ne se sentira apaisée qu'après une douloureuse et sévère déculottée, l'excessive empreinte des lanières et après avoir constaté une fois de plus qu'une telle branlée impose qu'il faille ensuite compter plusieurs jours avant de pouvoir s'asseoir en toute quiétude...
Non, je ne n'aime pas les instruments. Et pourtant cette image est assez fantasmante.
Comme me l'a joliment écrit récemment une lectrice:
"Un homme manuel, j'aime mieux. Je me dis toujours que le donneur, lui aussi, doit ressentir la brûlure sur SA paume. Que c'est meilleur partagé... "
Et c'est sans doute LA raison première de mon plaisir de fesser. Le partage. C'est aussi ce qui fait que je sais m'arrêter au bon moment, avec le baromètre incontournable que constitue cette même main.
Et la brûlure que je ressens quand la correction a été à son paroxysme.
Mais depuis peu, l'introduction d'un martinet (dans le trouble, pas dans le fondement...) germe dans mes envies de fessées. Alors évidemment, davantage pour graduer la menace dans ces instants où la provocatrice tente de prendre le dessus parce que c'est plus fort qu'elle et que pour sévir, une correction à la main ne suffira pas à calmer l'orgueilleuse qui vous tient tête. Elle veut être punie, sait qu'elle le sera...
Instants de défi, échange de mots et d'impertinence, juste avant de la basculer pantelante, jetant à bas jeans et culotte après l'avoir empoignée, courbée et maintenue cul nu en travers de vos cuisses, mais où, dès la première claque, on devine elle et vous qu'il faudra plus qu'une raclée à la main pour mater la petite orgueilleuse qu'elle demeure et lui délivrer la bonne parole...
Lui rappeler le respect. Et qui vous êtes. Qu'elle a parfois tendance à oublier que la gentillesse n'exclut pas pour autant l'intransigeance.
Alors, piqûre de rappel. Régulière.
C'est vrai: elle a la trouille des cinglades du martinet évoqué, à en pisser dans sa petite culotte de frousse. Pourtant c'est plus fort qu'elle et en dépit de la peur qui l'étreint et la fait vibrer comme une corde de piano, elle aime tant jouer avec ce feu ardent réclamé à même sa peau de fille qu'elle ne se sentira apaisée qu'après une douloureuse et sévère déculottée, l'excessive empreinte des lanières et après avoir constaté une fois de plus qu'une telle branlée impose qu'il faille ensuite compter plusieurs jours avant de pouvoir s'asseoir en toute quiétude...
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