3328- "Premier rôle..."
Je ne sais pas pourquoi.
Elle réclame qu'on la fesse sévèrement quand elle le mérite, exige de l'autorité masculine de haute volée, les mots qui vont avec pour la faire frémir, mouiller, obéir... Bref, que son homme se conduise en mâle, la recadre et la remette à sa place, la maintienne fermement. C'est quasiment un pacte entre-eux, une entente mutuelle tacite amoureuse.
- "Dis ? Tu ne te laisseras pas attendrir si je fais du cinéma, hein ?" lui demande-t-elle de multiples fois, anxieuse, avec en filigrane la crainte d'être une fois de plus déçue par un goût de "trop peu"...
Et quand je pense que les hommes croient encore que ce sont eux qui décident...
Mais une fois en position, c'est plus fort qu'elle: cette petite conne ne peut s’empêcher de se rebiffer un peu, prenant un malin plaisir à se protéger les fesses de la main au moment où elle doit être punie.
Avant chaque claque, il écarte donc calmement cette main qui tente protéger un cul meurtri et de faire barrage, finissant, agacé, par la bloquer pour éviter qu'elle ne dissimule cette ronde paire de fesses qui sera, quoi qu'il arrive (et elle l'a répété souvent, même si elle crie "non..."et se débat) dûment châtiée !
Dernier réflexe de rébellion, sans doute ?
Faut croire que les femmes appréciant les fessées que j'ai pu croiser dans ma vie sont systématiquement des battantes féministes parfaitement capables de mener leur vie. Jamais des chiffes molles ou de ces prétendues "soumises" qui se couchent quand on leur propose de s'asseoir. Et ça tombe bien: j'aime avoir quelqu'un en face de moi. Pas déçu. Ou si peu.
Il faudra quand même passer par des stades d'abandon, voire d'infantilisation assez surprenants pour qui ne comprend pas les paradoxes de l’âme féminine... C'est subtil, une fille.
Oh, j'avoue ne pas nécessairement souhaiter de la résistance systématique qui serait d'ailleurs un peu vaine et qui ne fait pas partie de mes jeux. Quand elle sait qu’elle doit être punie, bon sang, mais qu'elle s'incline et rende les armes... Et alors, elle s'impose de ne pas crier, orgueilleuse et fière. C'est à moi de briser son seuil de résistance en l’entrainant (juste) un peu plus loin que là où elle s'attendait aller...
Elle est "un petit peu comédienne", dit-elle. Tu parles...
À ce stade, c'est même un Premier Prix de Conservatoire ! César du meilleur espoir féminin, catégorie "bonnes fessées".
Que je décerne à une petite jeune femme qui sentant la claque venir, main levée en suspens au dessus de sa croupe déjà passablement fessée depuis quelques minutes, tenta d'amadouer son correcteur avec un "Aïe !" retentissant.
... Mais prononcé - et même beuglé ! - deux secondes AVANT que ne s'abatte la claque supposée la faire brailler...
Tricheuse, en plus ? Pour attendrir le gars, faudra repasser !
Je ne sais pas pourquoi.
Elle réclame qu'on la fesse sévèrement quand elle le mérite, exige de l'autorité masculine de haute volée, les mots qui vont avec pour la faire frémir, mouiller, obéir... Bref, que son homme se conduise en mâle, la recadre et la remette à sa place, la maintienne fermement. C'est quasiment un pacte entre-eux, une entente mutuelle tacite amoureuse.
- "Dis ? Tu ne te laisseras pas attendrir si je fais du cinéma, hein ?" lui demande-t-elle de multiples fois, anxieuse, avec en filigrane la crainte d'être une fois de plus déçue par un goût de "trop peu"...
Et quand je pense que les hommes croient encore que ce sont eux qui décident...
Mais une fois en position, c'est plus fort qu'elle: cette petite conne ne peut s’empêcher de se rebiffer un peu, prenant un malin plaisir à se protéger les fesses de la main au moment où elle doit être punie.
Avant chaque claque, il écarte donc calmement cette main qui tente protéger un cul meurtri et de faire barrage, finissant, agacé, par la bloquer pour éviter qu'elle ne dissimule cette ronde paire de fesses qui sera, quoi qu'il arrive (et elle l'a répété souvent, même si elle crie "non..."et se débat) dûment châtiée !
Dernier réflexe de rébellion, sans doute ?
Faut croire que les femmes appréciant les fessées que j'ai pu croiser dans ma vie sont systématiquement des battantes féministes parfaitement capables de mener leur vie. Jamais des chiffes molles ou de ces prétendues "soumises" qui se couchent quand on leur propose de s'asseoir. Et ça tombe bien: j'aime avoir quelqu'un en face de moi. Pas déçu. Ou si peu.
Il faudra quand même passer par des stades d'abandon, voire d'infantilisation assez surprenants pour qui ne comprend pas les paradoxes de l’âme féminine... C'est subtil, une fille.
Oh, j'avoue ne pas nécessairement souhaiter de la résistance systématique qui serait d'ailleurs un peu vaine et qui ne fait pas partie de mes jeux. Quand elle sait qu’elle doit être punie, bon sang, mais qu'elle s'incline et rende les armes... Et alors, elle s'impose de ne pas crier, orgueilleuse et fière. C'est à moi de briser son seuil de résistance en l’entrainant (juste) un peu plus loin que là où elle s'attendait aller...
Elle est "un petit peu comédienne", dit-elle. Tu parles...
À ce stade, c'est même un Premier Prix de Conservatoire ! César du meilleur espoir féminin, catégorie "bonnes fessées".
Que je décerne à une petite jeune femme qui sentant la claque venir, main levée en suspens au dessus de sa croupe déjà passablement fessée depuis quelques minutes, tenta d'amadouer son correcteur avec un "Aïe !" retentissant.
... Mais prononcé - et même beuglé ! - deux secondes AVANT que ne s'abatte la claque supposée la faire brailler...
Tricheuse, en plus ? Pour attendrir le gars, faudra repasser !
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